Le découpage (cut off), nécessaire à la comptabilité, est une procédure comptable permettant de réaliser correctement la gestion dees différentes activités transactionnelles des entreprises. Il faut donc la maîtriser pour travailler dans la comptabilité et la finance et le trésorerie. Qu’est-ce que le cut off ? Que devons-nous savoir sur son fonctionnement en comptabilité ? Comment pouvons-nous l’utiliser dans la comptabilité d’entreprise pour une gestion efficace ? Cet article pose ces questions et apporte quelques réponses.
Définition et objectif du tranchage
Le cut-off, qui signifie littéralement « couper » ou « séparer », est un principe d’indépendance comptable et vise à donner une image précise de la situation de l’entreprise au moment de la clôture des comptes (dettes, immobilisation, facture, engagement fournisseur…) : selon le règlement ministériel sur les conditions économiques et financières du 11 janvier 1990, la méthode du découpage « est utilisée au moment de la clôture des comptes, autour de la date.
Celle-ci indique que les activités réalisées dans la trésorerie, la gestion et les immobilisations doivent pouvoir être affectées de manière fiable et cohérente à chaque exercice. En pratique, la comptabilisation des charges ou des produits est généralement plus proche de la date de clôture. Cette exception vise à lever cette ambiguïté. L’objectif de l’autorisation est donc de distinguer les dépenses de l’année en cours des recettes de l’année suivante. Il s’agit donc de rechercher l’événement de régularisation, le déclencheur de dépenses et de dettes ou le produit et de se demander : quand l’événement de régularisation s’est-il produit ?
Si elle se produit avant la fin de l’exercice, elle est considérée comme ayant eu lieu à la fin de l’exercice. S’il se produit après la fin de l’exercice, des ajustements doivent être effectués pour éliminer les dépenses et/ou les recettes correspondantes.
Les procédures
Le principe de base de la compression est d’établir les droit et obligations comptables nécessaires pour vérifier que les opérations d’expédition et de facturation de l’entreprise ont eu lieu à la date prévue. Tout d’abord, il est important d’enregistrer les achats et les ventes du mois précédent qui n’ont pas été séparés et clôturés à la fin de l’exercice en cours.
Ensuite, chaque transaction doit être vérifiée efficacement à l’aide de documents justificatifs. Les comptables doivent donc être attentifs aux circonstances inhabituelles. Ils devraient être plus conscients que la moindre erreur dans la gestion comptable sur l’engagement envers les fournisseurs, les immobilisations, la facture et le tva peut être préjudiciable à l’entreprise. Ne pas recevoir de factures, ne pas les soumettre ou ne pas les enregistrer à l’avance sont des problèmes importants. La réussite de cette étape lèvera tout ambiguïté quant à la propriété légale (titre de droit) de la plupart des actifs financiers de l’entreprise.
Enfin, une analyse de la réalité financière de l’entreprise permettra d’avoir une vision plus claire des flux non réalisés de tous les fournisseurs, ainsi qu’une estimation physique de la TVA impayée. Il est donc plus sage de faire des prévisions pour l’avenir, en mettant en évidence les véritables forces de l’organisation avant toute fermeture.
Impact de la réduction des comptes des entreprises
Cette déduction a entraîné d’innombrables ajustements dans les comptes de l’entreprise. Cela signifie que de nombreux ajustements sont apportés à certains éléments du compte de résultat et du bilan. Dans ce cas, le spécialiste de la mesure doit enregistrer les différents postes comptables dans des registres spéciaux. Ce dernier correspond, par exemple, à un registre d’inventaire.
En fait, les prestataires de services comptables tout comme les fournisseurs d’immobilisation procèdent à divers ajustements à la fin de l’exercice financier. En général, il s’agit d’activités identifiées pour des équipements livrés ou des services rendus mais non encore facturés aux clients ou aux fournisseurs. Dans ce cas, les factures qui n’ont pas été reçues de fournisseur ou émises doivent être déterminées.
En outre, le comptable veut lisser les coûts qui ont été facturés à l’avance et qui peuvent dépasser la période comptable. Dans ce cas, il prend en compte les coûts différés et le bénéfice différé sur les ventes.